Lutter contre la fraude et fluidifier le trafic.
Avant la dépénalisation du stationnement, l’acquittement du stationnement payant en France était très faible. En cause, un niveau de contrôle insatisfaisant et un montant de l’amende peu dissuasif, comparé au coût horaire du stationnement.
Au-delà de la perte de revenu pour les collectivités, cette situation conduit à un taux de rotation faible des véhicules. En région parisienne, une personne sur quatre passe chaque semaine entre 30 minutes et une heure à chercher une place de stationnement. 25 % du trafic parisien est constitué de voitures en quête de stationnement.
Depuis le 1er janvier 2018, la Ville de Paris a vu son taux de respect du paiement doubler en passant à 20% et le taux des places vides est passé de 3-4 % à 12 % en un an avec la mise en place de systèmes de contrôles qui démontrent toute leur efficacité. (source : capital.fr)